La densité nutritionnelle des aliments a baissé avec la mise en place de la production agricole de masse. Il faut changer le mode de production de nos aliments pour préserver notre santé.
L'association Bleu-Blanc-Cœur prend les choses en main et agit pour que nous puissions mieux manger en améliorant la qualité nutritionnelle de notre alimentation, notamment la qualité lipidique et la teneur en Oméga 3.
Comment ? En améliorant d'abord l'alimentation des animaux d'élevage.
La démarche Bleu-Blanc-Cœur bénéficie d’un socle scientifique solide (plus de 370 publications scientifiques et 5 études humaines). Il démontre qu’en améliorant l’alimentation animale, nous nourrissons également mieux les hommes.
L'association est reconnue d’intérêt nutritionnel et environnemental par les Ministères de la Santé, de l'Environnement et de l’Agriculture.
Aujourd’hui, près de 2 000 produits portent le label Bleu-Blanc-Cœur.
Retrouvez-le dans l'application ScanUp et découvrez l'ensemble des produits qui portent ce label sur le site de Bleu-Blanc-Coeur.
Les engagements de Bleu-Blanc-Cœur
Bien nourrir les animaux
Le label Bleu-Blanc-Cœur garantit l’équilibre de l’alimentation des animaux en privilégiant le retour des végétaux d’intérêt nutritionnel tels que l’herbe, la luzerne, le lin ou la féverole. Ces végétaux et graines sont naturellement pourvus en nutriments d’intérêts variés et complémentaires.
Avec une alimentation diversifiée, on améliore l’équilibre nutritionnel de nos animaux qui sont ainsi en meilleure santé.
Préserver l’environnement
En diversifiant les cultures (avec du lin, de la luzerne, du lupin…), les agriculteurs Bleu-Blanc-Cœur adoptent des modes de production favorables à la santé des sols, à la biodiversité et à l’environnement.
Le cahier des charges Bleu-Blanc-Cœur prévoit aussi une interdiction de l'utilisation d'huile de palme (et prochainement du soja importé, déjà limité dans les rations des animaux).
Les produits Bleu-Blanc-Cœur ont un impact réduit sur l’environnement
En effet, de récentes analyses de cycle de vie réalisées sur les produits Bleu-Blanc-Cœur (œufs, porc, volaille)* ont démontré que leur impact au niveau de l’étape agricole (celle qui pèse en général le plus lourd dans la production d’un produit) est réduit de 16 % à 40 % sur le critère changement climatique (impact CO2) !
Ces résultats d’analyse de cycle de vie apportent une seconde validation de la pertinence de la démarche Bleu-Blanc-Cœur ; déjà dépositaire d’une méthodologie environnementale référencée depuis 2011 auprès du ministère de l’environnement et depuis 2012 auprès des Nations-Unies (UNFCCC) pour ses filières ruminants (lait et viande bovine).